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 Un boulet dans le groupe...

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Eiffel Sakine
Blยє Ł๏tยร
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Eiffel Sakine



Perso
Amour ?: Oui, bon, il ya bien quelqu'un :$
Stand: Blue Lotus
Pouvoirs du Stand: Manipulation de l'eau

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MessageSujet: Un boulet dans le groupe...   Un boulet dans le groupe... Icon_minitimeVen 27 Aoû - 18:45

Présentation du personnage ::
Prénom :: Eiffel
Nom ::
Age :: 14ans

Description physique :: (3 lignes minimum)
Eiffel mesure 1M66 et pèse 38 kilos. De loin comme de près, elle a une stature assez maigre et fragile. Physiquement, elle n’est pas vraiment belle, plutôt commun, voir en dessous de la moyenne. Elle accorde peu d’importance à son physique et ne s’entretient pas tellement. Ses tenues, plutôt futuristes dans l’ensemble, sont pourtant choisit à la va-vite, ou voir même ramassés dans des trocantes, ce qui fait qu’elle ressemble assez à un clown….
Elle chausse du 39, et cache ses pieds dans des bottes légèrement trop grandes, sans passer par la case chaussettes. Ses cuisses, trop grosse à son goût, comme si elle s’en préoccupait, sont découvertes, jusqu’à une jupette aux motifs de piano assez… Démodée.
Son ventre, trop plat, laisse entrevoir des côtes saillantes, ce qui, lorsqu’elle est torse nue, lui donne des allures de squelette.
Elle porte des mitaines noires s’arrêtant peut avant ses épaules, nettement trop large pour sa corpulence.
Son cou, trop petit pour une tête aussi grosse se termine sur un visage entre rond et carré. Dessus s’y dessinent des lèvres gercées, et encore trop fine pour cacher son nez –Complexe de la demoiselle- non symétrique par rapport au reste du visage –"Il part de côté et ça se sent quand on touche"-.
Remontant plus haut, on tombe sur des yeux d’un rougeâtre à donner la nausée. Ces yeux, trop grand pour être de style asiatique, largement trop petit pour être de style européen, ne sont plus tellement en état de marcher. –Elle possède 1,5 dixième de vision…-
Pour terminer, ses cheveux, très rarement coiffés et coupés aux épaules sont d’une couleur verte, jurant avec tout le reste.

Description moral :: (3 lignes minimum)
Eiffel n’est pas vraiment grande, Eiffel n’est pas vraiment belle, Eiffel …
Eiffel ne se trouve pas belle.
Elle souffre d’un manque énorme de confiance en soit, d’une paranoïa accentuée, rajoutée d’une hypocondrie à faire pleurer les médecins.
Ah, et elle est agoraphobe.
A ce niveau, c’est plutôt en hôpital psychiatrique qu’il faudrait l’envoyer que dans un monde emplit de stands et autres… Démons.
Bref, revenons sur cette terre, où Eiffel va malheureusement –pour vous- être forcée de séjourner.
Donc… Une qualité, peut-être, pour éviter de vous faire fuir ? Eiffel ne mord pas ! –Mais il se peut qu’elle soit contagieuse~…-
Elle n’est pas méchante pour un sou. Énormément timide, elle aura plutôt tendance à fuir en vous voyant qu’autre chose. Ce qui est utile, quand on possède un pareil stand, c’est que justement, on peut sentir les gens approcher de loin.
Eiffel considère toute personne étrangère à elle-même comme une menace. Elle en a peur car dans sa petite tête d’idiote, cette personne va sûrement la mordre, la mâchonner, la taper, voir la tuer… Bref, notre petite parano risque d’avoir bien du fil à retordre, lâchée seule dans la nature.
Concédons lui que son enfance ne l’a pas aidé à être supportable, mais à ce niveau…
Toujours ‘malade’ on l’entend souvent se plaindre, d’une maladie ou d’une autre. Si jamais vous deviez entreprendre un voyage avec elle –Et si jamais vous aviez réussit à l’approcher à moins de huit cent mètres…- Elle s’arrêterait toutes les cinq minutes, prétextant si ou ça.
Il est vrai qu’elle n’est pas très solide physiquement non plus, ce qui pourrait expliquer que la miss tombe souvent malade…
Que la maladie soit dans sa tête ou non.
Ce qui pourrait être marrant avec elle si ce n’était pas si énervant, c’est que lorsqu’elle tombe malade ‘dans sa tête’, le corps la suit quelques jours après et elle attrape réellement cette maladie.
En réalité, elle a tout de même un bon fond –C’est pour ça qu’on ne l’a pas achevé avant de la faire venir ici //-, elle ne supporte pas de voir les autres souffrir, etc, etc… De ce côté-là, on va être tranquille, la miss est pratiquement aveugle !
Voilà, je crois que c’est tout…

Histoire du personnage ::
La pluie… Une pluie continue. Des milliers de petites gouttelettes d’eau tombant sur le sol, l’éclaboussant, le trempant… Elles rampent ensuite sur ce sol de béton gris, glissent, s’échappent… Elles s’échappent, elles… Et finalement on ne les voit plus.
Confondues dans la masse, elles n’existent pas. Essayez donc de différencier une seule gouttelette des autres, vous verrez que finalement, elle y ressemble tellement…
Au milieu de cette pluie sourde, une gouttelette un peu plus petite que les autres tombe. Personne ne la remarque, et pourtant, seule au milieu de la court de récréation, la petite gouttelette d’eau regarde ses genoux écorchés par ce béton gris de la court de récré. Elle regarde le sang qui s’en écoule, se mélangeant à la pluie et elle retient ses larmes.
La petite gouttelette a peur, la petite gouttelette se relève. Elle regarde le sol où subsistent encore quelques traces de son sang. Elle respire bruyamment, essuie ses yeux d’un geste incertain, et prit pour trouver un abri à cette pluie qui n’a jamais cessée depuis toujours. Une pluie qui ne s’arrêtera jamais, elle le sait. Une pluie qui lui cache un monde encore plus effrayant, en dehors de cette prison d’eau rassurante.

Cette petite gouttelette s’appelait Eiffel. Ce nom lui avait été donné au hasard, en lui demandant de pointer du doigt un mot dans le dictionnaire. Petite fille, elle avait eu un sale caractère. Trop franche, pas assez hypocrite, peut-être même avait-elle tendance à rapporter un peu trop… Toujours est-il que depuis ses six ans, plus personne ne l’aimait. Elle devenait une goutte d’eau indésirable et on la souhaitait morte.
‘Eiffel s’était faite à vivre seule.’ Elle s’enfermait, se cloîtrait dans ce mensonge. Elle fermait les yeux et se disait que c’était bien, d’être seule. Qu’il valait mieux éviter les autres plutôt que de se faire rejeter. Qu’il valait mieux… Qu’il valait mieux être seule que morte, oui, pourquoï pas… Qu’il valait mieux souffrir seule plutôt que de chercher inutilement du soutien qui ne viendra jamais.

Tenir… Apprendre à tenir n’avait pas été une chose facile, c’était vrai. Relever la tête, cela, elle savait qu’elle en serait éternellement incapable. Vivre la tête baissée était le mieux qu’elle pouvait faire. Se recroqueviller sur elle-même, regarder le sol, sourire de sa propre incapacité, de sa propre sottise, de sa propre haine d’elle-même… Si ils me détestent, c’est qu’ils ont raison…

L’avenir ? Un simple trou noir, pourquoï regarder devant ? Regarder par terre, fixer le sol et la pluie qui y ruisselle… S’enfermer dans les toilettes, la clé tournée et laisser le monde oublier qu’on existe.
Eiffel avait grandie dans un orphelinat. Ses parents ? Deux ombres perdues dans l’enfer de ses souvenirs. Elle n’y pensait plus, n’espérait même plus leur retour. Elle avait été laissée sur place, jeté devant les portes de cet établissement. « Nous reviendrons te chercher, ma chérie »… Adieu papa, adieu maman.
L’avenir ? Non, mieux valait ne pas y penser. Un jour, ceux qui voulaient sa mort, les autres, auraient sa peau. Elle devenait psychotique à force de rester seule et paranoïaque à force de se prendre des cailloux au visage, lorsqu’elle s’approchait trop d’ « eux ».
Elle pleurait la nuit et la journée faisait des cauchemars.


“Le monde est un ennemi”.
« Le monde est contre moi. »
« Le monde veut ma mort. »
« Je n’ai pas d’amis. »
« Je suis seule. »
« Tant pis. »
« J’ai l’habitude »
« Ce n’est pas important »
« Car »
« Je ne suis pas importante. »


“Ce monde, je le déteste !”
Ne plus faire confiance en personne… C’était, cela y ressemblait en tout cas, à une bonne idée. Fermer son cœur et ses yeux. Et puis… Si jamais… On venait à me demander… Pourquoï je suis…
« T’as l’air pitoyable »
...Pourquoï je suis seule, je répondrais que c’est parce que je suis née comme ça. Que je suis une solitaire. Que…
« T’es né dans une poubelle ?! C’est là où on t’as trouvé, avoue ! »
« T’approches pas, tu vas nous filer ta maladie »
« T’as choppé des radiations et ça t’as rendu moche si on s’approches elle va nous faire pareil ! »


…De toute façon, ce n’est pas important.

Au fur et à mesure la petite fille trouva une autre échappatoire. Les toilettes se transformaient en l’infirmerie. La petite fille s’enfermait dans la pièce blanche de repos, pleurant, prétextant être mourante, ne pas aller bien, avoir mal réellement partout… Puis elle finissait par oublier qu’elle était dans cet établissement, elle finissait par s’oublier elle-même, les yeux rivés sur un plafond blanc. Le blanc avait été pendant longtemps sa couleur préféré, maintenant, elle était certaine qu’elle ne pouvait plus voir cette couleur sans penser que le blanc se ternissait automatiquement, plongé dans un milieu où l’obscurité régnait. C’était à cela qu’elle pensait lorsqu’elle était dans la petite chambre, c’était à ça qu’elle pensait pendant ces instants de répit, de survie…

Partir… Il fallait partir le plus vite possible d’ici… Il fallait s’enfuir, loin, rapidement… Courir le plus vite possible et… Il fallait fuir pour survivre. La petite fille cherchait en vain un moyen de s’enfuir. Ils se faisaient tous adoptés, les uns après les autres, mais personne n’aurait jamais voulu d’elle… Les adultes la fuyaient comme la peste. Elle s’imaginait se retrouver seule dans cet endroit, et cela lui apparaissait comme une vision bien pire que sa propre mort… Vision qui la hantait aussi. Si elle venait à mourir, elle les laisseraient gagner, elle les rendraient heureux… Et ça il ne fallait absolument pas.
Elle les voyaient se pencher sur son cerceuil, sur son visage stoïque désormais pour l’éternité et elle était prise d’une envie de vomir. Elle voyait au ralentit un crachat atteindre le visage de la petite fille décédée et elle se disait qu’il fallait absolument survivre. Tout le monde mourait, tout les jours… Eh bien pas elle.


« Madame l’infirmière, j’ai très mal là, c’est grave… ? »

[...]

Un boulet dans le groupe... 100905044115762580

[...]

Passé du personnage comprenant l'apparition du stand ::
C’était… Quand la petite fille avait 7ans, qu’il s’est manifesté pour la première fois.
Auparavant, quelque part, cette petite fille –moi-, avait toujours sû que quelque chose d’anormal rôdait autour d’elle… Les autres aussi, d’ailleurs.
A sept ans, j’étais déjà seule. Enfermée dans les toilettes, je m’installais sur le sol, les bras contre les jambes et je regardais l’eau de la cuvette danser, se soulever toute seule, et prendre des formes d’êtres humains, des visages, même, parfois…
Je m’étais inventée un ami imaginaire et je m’expliquais cela par son action. Quelqu’un qui voulait mon bien, quelqu’un qui était là pour m’aider à remonter la pente.
C’est à cette époque que je pris l’habitude de parler toute seule.

-Tu as l’air d’être en forme, aujourd’hui, Chu.
Chu, c’était le nom de mon ami imaginaire. C’était aussi le bruit que faisait l’eau lorsqu’elle glissait le long de la cuvette…
C’était un nom simple, facile à retenir… Au final, oui, je parlais toute seule.

Donc, ce fût un jour, le jour de mes sept ans, qu’il se manifestât pour la première fois devant les autres. Mon anniversaire n’était pas fêté, en souvenir des autres, où j’avais finie la tête dans le gâteau… J’avais, comme cadeau, eu droit à un jour de repos, que je passait dans ma chambre.
Je n’aimais pas ma chambre car elle n’avait pas de verrous, et que tout le monde pouvait y entrer… Et que tout le monde y entrait, aussi…
Je n’avais pas beaucoup de jouets, une dizaine, tout au plus… Ce qui constitue tout de même un trésor, par rapport à ce qu’avaient les autres enfants…
D’où venaient-ils ? A la cantine, il y avait parfois des kinder-surprises en dessert… Les autres enfants jetait à la poubelle ou laissait traîner le jouet caché à l’intérieur du chocolat… Je restais en dernière à la cantine et je les ramassais.
Cela m’occupait et me rassurait, le soir.
Dans ces jouets, j’avais une préférence pour le seul qui était un peu plus grand que les autres. C’était un petit renard brun mécanique, qui secouait la tête et était censé répondre un petit bruit quand le micro situé sous ses pattes recevait un son. Ce jouet, je ne me rappelais plus d’où il venait, juste que je l’avais depuis longtemps. Il était devenu muet en même temps que moi, de mon côté, j’étais devenue aveugle.
Si j’étais devenue aveugle, à vrai dire, je l’avais bien cherché… Ma vision n’avait jamais été réellement bonne, mais étant petite, je voyais presque normalement. Puis les adultes ont finit par me faire remarquer que si je forçais trop sur mes yeux… Ils n’allaient plus répondre.
Je me suis dit que ne plus voir ce monde d’où grouillaient des cafards, toujours plus immondes les uns que les autres, où la vermine s’aggripaient à votre peau pour vous sucer le sang jusqu’à la moelle… Ne serait pas une mauvaise chose.
J’avais donc décidée de débuter une guerre contre mes yeux… Je lisais tard, sans lumière, je restais les yeux ouvert sous l’eau du lavabo le plus longtemps possible et arrêtais seulement lorsque ma peau se fripait, je me mettais au fond de la classe de manière à forcer pour voir le tableau…
Cela m’avait occupé durant plusieurs années, m’avait apporté une occupation salutaire. Et j’avais finie quasiment aveugle, à n’être plus capable de voir que des formes floues et des couleurs pastel.

Cette journée, donc, se passait dans ma chambre. Pas bien grande, elle faisait deux mètres sur trois. La plupart des autres pensionnaires n’avaient le droit qu’à un dortoir à plusieurs, je m’estimais donc heureuse d’y avoir échappé. –Il faut dire que leur seule expérience de me mettre avec d’autres élèves s’était soldée par une tentative de lynchage…-
Déclic net, puis bruit… La porte qui grince. Je relève ma tête, sachant pertinemment que de toute façon, je ne pourrais peut-être qu’être capable de différencier s’il s’agit d’un adulte ou un élève –Et imaginer un adulte entrer dans ma chambre pendant les heures de court…-
Donc un élève. Menace. Je me redresse totalement, fixe méchamment la petite ombre un peu plus sombre que la chambre grise… Du moins j’essaie.
Il me lance quelques phrases dont je ne me souviens plus, se dirige vers le tiroir à jouet, au milieu de la chambre.
Il le prend, renverse tout de haut, une partie sur mon lit.
J’entends un fracas d’objets cassés. Il peut continuer, ça n’est pas important.


-Tu dégages de ma chambre, ok ?!
Il se retourne, ne bouge plus. J’entends un petit gloussement.

-Tu dégages de ma chambre, ok ?!
Fais-il en me parodiant. Une voix aigue, moitié hystérique, moitié minable… La mienne. J’ai honte et me retrouve déstabilisée pendant quelques minutes. Je ne sais plus quoi répondre, mais lui, si.
Il répète ma phrase plusieurs fois, l’intonation l’amuse, déclanche chez lui un fou rire. Pendant ce temps, il en profite pour piétiner les jouets, sur le sol.
Le renard en plastique a glissé jusqu’au coin de la pièce. Il fait un bruit mécanique à chaque fois que le garçon répète ma phrase.
Il finit par l’entendre, s’approche. Il se retourne vers moi une dernière fois, lève son pied et…
Un craac. Au même moment, de l’eau sortit je ne sais où lui tombe dessus, le trempe.
Il ne comprend pas, appuie son pied plus fort sur le petit jouet qui demande de l’aide… L’eau revient, il y en a plus cette fois. C’est la seule chose que je suis capable de voir, la seule chose qui n’est pas floue.


¤Cette fois…¤
Je me lève. Ma respiration se fait plus bruyante. J’ai l’impression de pouvoir contrôler cette eau, de pouvoir…
Elle rentre en flot dans sa bouche, dans son corps, dans ses poumons…

¤Continue…¤
Il reste debout, sans bouger, son corps est pris de petits sursauts au fur et à mesure que l’eau s’engouffre en lui et le noie. Puis finalement le flot s’arrête. J’attrape un objet –Une boule rose en plastique, je ne sais pas ce que c’était-, puis menace de le lui écraser dessus.

-Maintenant tu sors.

Il s’enfuit, se retourne à l’entrée de ma chambre.
-Connasse de sorcière de m*rde.

Je lance le jouet qui s'explose contre le mur, il rigole, s’en va.
La rumeur a fait le tour de l’école, j’ai héritée d’un nouveau surnom.
Depuis, « il » ne s’est plus manifesté pour me protéger. Je pense pouvoir le faire ressurgir de nouveau, oui. Mais je n’en aie pas envie. Son nom a changé, comme son apparence, en même temps que j’ai changé d’ami imaginaire. Blue, une fille aux cheveux blancs.
Et le petit jouet, dans tout ça ? Je l’ai gardé dans ma poche. C’est un petit renard muet et sans queue, désormais. … Mais il me répond toujours.


Stand ::
Nom du stand :: Blue Lotus

Caractéristiques du stand -)
Peut-il s'éloigner de son maître ou est-il obligé de rester à ses côtés ? A une portée de 8KM.
Peut-il voler ? Nop’

Autres :: (Pour cette partie à vous d’être inventif.)

Spoiler:

Pouvoir du stand :: Il s’agit d’un stand d’eau. Cela revient à dire que la moindre parcelle d’eau dans l’air, les rivières, voir même dans votre corps à plusieurs kilomètres à la ronde… Est sous son contrôle. Libre ensuite au stand de faire évaporer cette eau, ou de la geler. Dans tout les cas, le stand permet uniquement une attaque lente, la rapidité n’étant pas son fort, ses capacités prenne entre 3 et 14 minutes avant d’opérer dans le corps de l’ennemi.
Il permet aussi une défense plus ou moins efficace sous la forme d’un mur d’eau, durant quelques dizaines de secondes tout au plus. L’utilisation de se stand est aussi limité par la fragilité de son possesseur et si jamais le combat s’éternise, ce duo ressemblera plus à un poids mort qu’autre chose.
Nom du pouvoir :: /
Effet du pouvoir ::
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Taryuki Niwa
Admin/ Hakkyou
Admin/ Hakkyou
Taryuki Niwa

Capricorne Serpent
Age : 34


Perso
Amour ?: personne
Stand: hakkyou
Pouvoirs du Stand: pouvoir d'illusion (Kyouran hisshi/ folie frénétique)

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MessageSujet: Re: Un boulet dans le groupe...   Un boulet dans le groupe... Icon_minitimeSam 28 Aoû - 14:51

c'est tout beau tous sa, pour moi c'est bon ^^
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Chuzakû Amenohotep
Admin \ ♫'Vibrato~ RaiQuièm'♪
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Chuzakû Amenohotep



Perso
Amour ?: Moi & L'Amour.. ('-_-')
Stand: ♫'Vibrato~ RaiQuièm'♪
Pouvoirs du Stand: Mélodies ayant de nombreux usages, pouvant agir sur trois plans : Physiques & Mentales & Spatiales..

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MessageSujet: Re: Un boulet dans le groupe...   Un boulet dans le groupe... Icon_minitimeDim 29 Aoû - 3:42

Taryuki Niwa a écrit:
c'est tout beau tous sa, pour moi c'est bon ^^
J'ai pensé pareil en lisant.. Razz
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MessageSujet: Re: Un boulet dans le groupe...   Un boulet dans le groupe... Icon_minitime

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