Taryuki regardait le ciel, où le soleil chauffant toute surface brillait de mille feux. Il donnait l'impression de se moquer de ce que lui disait son frère mais loin de là, bien au contraire.
Bien, va y déballe tout, je suis sur que tu as d'autre chose à me dire encore.
Après quelques instants, Taryuki se mit à soupirer.
La seul chose auquel je m'en fou dans ton histoire c'est des types que tu as butés, j'ai fait plus de recherches que tu crois.
Je ne t'es pas donné de nouvelles pendant tout ce temps pour une raison précise.
J'ai fait ma petite enquête, ce qui ma mener en France, à Paris pour être préçit, et je ne t'es pas donné de nouvelles car je savais pertinemment que tu aurais agressé tout ceux que tu aurais croisé, alors au lieu de me pousser une gueulante, tu ferais mieux de te calmer cinq minutes, ca t'évitera de dire n'importe quoi et à moi de ne pas me casser les oreilles avec tout ton blabla.
Taryuki ferma les yeux quelques instants, puis regarda son frère.
Tu sauras que les deux énergumènes sont d'origine française, il y a longtemps quand j'ai tué l'assassin que j'ai croisé de mon côté à la maison lors de la nuit noir où nos parents furent froidement tués, j'ai fouiller le corps du sale chien que j'ai tué et j'ai retrouvé sur lui un agenda dans lequel se trouvait des informations assez intéressantes. Désolé de ne t'avoir rien dit.
Sort un agenda de sa poche et le donne à Kitaku.
Au moment même où nous parlons, nos deux ravisseurs se dirigent en Angleterre dans la ville de Londres, ses abrutis ont tout programmés sur plusieurs années et grâce à cela ils vont le regretter amèrement.
Alors d'après je m'en fout toujours ou tu est prêt à me suivre.