Ces derniers événements m’avaient passablement irrité. Je n’en pouvais plus d’être ici…
L’endroit n’est plus aussi tranquille qu’auparavant, et il ne fait pas agréable d’y vivre, si c’est pour être constamment dérangé par des gens venues de je ne sais où, trafiquer je ne sais pas quoi, avec la ripaille du coin. Je réfléchissais donc à un nouvel endroit, peut-être même une nouvelle ville.

C’est à ce moment-là qu’il est arrivé. Il prétendait qu’un faiseur de miracle était dans le coin, que d’un simple geste de la main, il pouvait guérir tout les maux, toutes les blessures… IL nous raconte alors l’histoire d’une petite fille orpheline qui avait passé toute son enfance en chaise roulante suite à un accident, mais lorsqu’il s’était occupé d’elle, elle marchait comme une jeune fille normale ! ‘’ J’avoue n’avoir pas tenu compte de ce qu’il me racontait, soutenant que non n’étions pas malades, que nous avions seulement besoin d’argent, et que je n’aurais pas de mal à en trouver, qu’il me fallait juste suffisamment de temps... ‘’

Alors qu’il disparaissait, il laissa tomber derrière lui un morceau d’article de journaux dans lequel on fait mention de ce fameux guérisseur. Ce papier était vraiment usé et avait pris l’eau, vu le temps, rien de très étonnant… De la pluie, de la pluie, encore de la pluie !

Je vais tenter de lire entre les trous, ce qui est encore lisible « Quand M’# -Dio~* ¤ m’a touché… »
Arf ‘ Zut, impossible de déchiffrer son nom, c’est bien trop amoché à cet endroit là. Bon, Tant pis !
Lisons la suite « J’ai d’abord senti comme une douleur intense, comme si tout mon corps me brûlait, en particulier mes jambes qui se mettaient à trembler de plus en plus violemment. J’en suis tombé de ma chaise, pris de sorte de convulsions spasmodiques. J’ai hurlé et ptèt même que j’en ai pleuré de douleurs. Mais en moins d’une minute, le calme plat était revenu. Et bien plus que ça, je me suis relever seul pour m’essuyer les saletés auxquels je m’étais frottés quelques seconde plutôt pour me rendre que personne ne m’avait aidé à retourner dans mon siège. Je l’avais fait seul, comme une grande, comme si c’était naturel.. » L’article mentionnait qu’il y avait une photo sur la gauche, mais elle était en aussi piteuse état que le reste, voire pire. On ne voyait qu’un bras masculin posé sur l’épaule de la demoiselle dont la tête’ ne figurait plus car les lambeaux qui subsistaient à cet endroit ressemblaient plus à du papier mâché, qu’à un vrai morceau de journal. Il n’y avait rien d’autre à en tirer. Il était bon qu’à être jeter désormais. Néanmoins, cette histoire commençait à m’intriguer. Si le mystérieux homme, qui ne m’a pas dit son nom d’ailleurs ?? N’y avait pas pu grand-chose, ce qu’il a laissé derrière lui m’a semé le doute. L’aurait-il fait volontairement, ou bien suis-je un peu trop méfiant ? Nan, je devrais arrêter ma psychose, il ne me l’avait pas dans la main, elle est tombée de sa poche. C’est donc qu’il ne l’a pas fait volontairement.

Tâchons d’en savoir plus sur là dessus. Même si je ne souhaite pas son mal, imaginons qu’il puisse guérir sa cécité !! Et si son pouvoir n’était pas si grand qu’il le pensait. Si au lieu de la guérir, il la faisait souffrir le martyr pour se rendre compte qu’elle n’avait pas toujours pas recouvré la vue. En définitive, je ne lui ferais pas confiance tant que je ne l’aurais pas vu à l’œuvre.

J’avais de plus en plus peur pour elle, malgré le fait que je lui laisse un peu plus de liberté. Était-ce pour me rassurer que je le faisais. Ou bien pour était-ce pour combattre cette peur qui me tenaillait les entrailles chaque fois qu’elle s’éloignait de moi. Comme cette nuit-là, où je me réveillais péniblement après une nuit très mouvementée, trop mouvementée. Pour me rendre compte qu’elle n’était plus là… Seul chose restant à sa place, posé là. Tout près de ma tête, un mot. Qui disait d'une bien triste manière « Adieu… Je pars… Ne me cherche pas… »

On s’est retrouvés par la suite, dans ce vieil immeuble délabré, un peu triste. Aussi maussade que nous l’étions peut-être, étant donné ce qui venait de se passer. La nuit était pesante et glaciale. On était en hiver, les vitres étaient cassées. La tempête faisait toujours rage. On s’y est installés ici pour la nuit sans vraiment le choisir. Mais, j’étais trop déboussolé pour chercher un endroit convenable dans un coin que je ne connaissais pas. Et puis, nous avions tout de même un toit, bien que vétuste, au dessus de nos têtes.

Au petit matin, les tumultes de la ville et les bruits de pas provenant de l’extérieur nous fîmes nous réveiller. Certains étaient plus proches que d’autres, mais je n’y tenais pas garde. Et puis, j’avais toujours mon stand. Tout de même, je devrais songer à faire une barrière de protection subjective autour de nous la prochaine fois. Car on est plus à l’abri de rien de nos jours.
Et puis ça serait vraiment très pratique, je ne vois pas pourquoi je n’y ai pas pensé plus tôt.. ?

- Je crois… Qu’il y a quelqu’un qu’on connaît en bas.
- Vraiment, Tu en es sûre ? Et bien, nous allons nous en assurer...
Je n’ai pas vraiment envie de me déplacer. Je dirais même plus, que je le connaisse ou pas, je préférerais qu’on ne soit pas vu. Surtout si comme tu le dis, c’est quelqu’un qu’on connait, ça ne présagerais vraiment pas de bonnes choses, puisqu’on ne devrait connaitre personne dans ce coin.

J’attrapais donc l’une des trois petites pierres que je porte autour du coup, et se mit à luire au creux de mes mains après quelques secondes de concentration. Un petit papillon bleu vole à présent au dessus de nos têtes. Je lui demande d’aller voir ce qui se passe plus bas, et de remonter me le dire une fois qu’il a fini. Il s’échappe sans encombre par l’encolure de la fenêtre avant de disparaître.

Après des semaine a rester sur le continent asiatique, en attendant le retour au pays de sont ami humanoïde, Elle savait ou le trouver, mais se refusait à quitter le pays. la petite chatte noirs ne prenais plus plaisir a vagabonder dans les différentes rue de cette si grande ville qu'est Tokyo, elle lui manquais quelque chose, c'était sont ami, le seul qui lui avait accorder de l’intérêt et de la sympathie.
Un beau soir, ou elle se promenais sur les toits, elle s'assied au bord ou elle regardais le mouvement venant du bas, puis détourna les yeux vers le ciel ou elle ne distinguais que très peu la lune. Les nuages la cachais, il faisait si noir que l'on ne pourrais apercevoir un mur a moins de un mètre devant le museaux.

elle jeta un dernier coup d’œil en bas, se gratta les oreille pis se mit à traverser le toit, elle passait d'un toit à l'autre en se servant de sont stand comme pont aussi machinalement que de lécher les babines.
Un homme dans la moyenne dans la tranche d'age du pays sirotant sont verre de saké l'aperçut et vit un chat marché dans les air avant de la perdre de vue, il ne comprenais pas se qu'il venais de voir, il se mit à regarder sa bouteille, observa les toit une dernière fois se demandant s'il n'avais pas rêver, il pris sa bouteille avant de la vidée dans sont bonzaï.

Lucie quand a elle continuais sa route, encore un certain temps usant des pouvoir de sont stand pour gagner du temps. Elle finit pas arrivée au port au bout d'un ponton ou la lumière faisait défaut.
L'on pu apercevoir de gros yeux rouge perçant la pénombres.
la féline a la couleur obscur disparut subitement.
Usant de ses pouvoir elle pris place dans la nuit comme elle savais si bien le faire, elle venais déjà de faire plusieurs kilomètre au dessus de l'océan tandis que sa ne faisait a peine une minute qu'elle était parti, sa vitesse était elle que personne ne pourrais remarquer sa présence, ni la sentir.

Après une bonne demi-heure elle avait presque parcouru tout le chemin qu'elle avait entrepris de prendre, n'était-ce pas par fainéantise qu'elle n'était pas parti plus tôt ?
Qui sait, mais elle était motiver a le retrouver, et la nuit recouvert de nuage lui permettais d’utiliser ses pouvoir a plein régime, elle pouvait a présent apercevoir de gros bateau qui semblais transporter de gros container. Elle passa juste au dessus assez haut pour ne pas se cogner et assez bas pour chiper le sandwich du surveillant qui faisait sa ronde, celui-ci ne comprenais pas se qui s'était passez, mais il n'avais pas le temps de se poser la question que Lucie était arrivée a quais, elle posa le casse croute en tirant une drôle de tête, visiblement celui-ci n'était pas a sont goût elle posa sa patte inférieur droite dessus et le poussa dans l'eau, elle se fit brièvement une petite toilette. Avant d’avancer dans le port, le matin allais se lever d'ici quelques heure le décalage horaire venais de prendre une claque ainsi que l’efficacité de la vitesse des moyen de transport humain qui avait visiblement trouver une concurrente des plus imprévisible.

Toute fière elle croisa de nombreux chien et chat de gouttière qui ne mettais pas longtemps aussi bien a vouloir s'en prendre a elle qu'a détaller la peur au ventre.
Soudain, elle sentit plusieurs présence qu'elle connaissait dont une qu'il lui était étrangère a des endroits plus ou moins éloigné les un des autre.
Elle se mit a courir en direction de celle qui lui était la plus familière, après quelques minute a gambader la queue haut levée. elle tomba nez nez avec se dont elle cherchais depuis pas si longtemps que sa, Taryuki.
Elle lui sauta dessus, se dernier était plus ou moins surpris de la voir ici, et se mit a lui caresser le dos, tout en disant on ne sait qu'elle chose qu'un humain puisse dire à a une humaine, celle-ci semblais toute gentille, elle frotta sa tête contre elle en ronronnant, a la grande surprise de Taryuki.

Puis-elle est descendit par terre et gambada dix mètre plus loin avant de se retournée et de les regarder.

Maaoouw.

Elle voulais que ceux-ci les suivent, et les amena dans un immeuble délabrer, avant de se frotter contre les jambe de Taryuki en ronronnant de plaisir d'avoir retrouvée sont ami.

Après plusieurs heures de vols, ils étaient enfin arrivés à destination. On voyait en arrière-plan l'immense ville qui se présentait à eux, attirante, mystérieuse et cachant des secrets. Ils venaient tout juste de descendre de l'avion qu'un petit animal venait à leur rencontre. Celui-ci s'empressa de sauter sur son compagnon à deux pattes. À les voir tout les deux, elle ne fut pas surprise de constater que ça devait être son animal de compagnie. Mais pour une raison étrange, comment un chat peut être dans la court d'un aéroport?!

Nous voici enfin dans la grande ville qu'est New York.dit-elle à son ami. Je me demande ce qu'elle nous réserve. Je suis curieuse de le savoir.

Puis, elle vit que l'animal à quatre pattes voulait qu'ils le suivent. Donc, ils le suivirent jusque dans un immeuble délabré. Étrange. Pourquoi un chat conduit deux humains dans un endroit lugubre?! Puis, elle sentit la présence de personnes au même endroit qu'eux. Elle ne fit rien qui aurait pu remarquer qu'ils n'étaient pas seuls. Elle fit comme si de rien était et en glissant point un mot.

Elle se retourna vers le jeune homme et lui dit:

Ça fait un moment que ça me chicote. Je te vois, toi et le chat, et c'est facile à deviner que c'est ton chat de compagnie. Mais, dis-moi, pourquoi il nous a amené ici?! C'est pas que ça me dérange, au contraire, c'est mieux comme ça, mais je trouve que c'est un peu... Comment dire... Étrange?!

Durant ce temps, elle inspecta les lieux et les vues de chaques fenêtres qui se trouvaient dans les pièces, essayant de se donner un coin de repère. On voyait très peu les grandes artères, donc, juste la petite ruelle. Bonne chose, ils seront pas trop à la vue et personnes seraient attirés à venir jeter un petit coup d'oeil.

Et devinez qui se retrouvait à faire les poches des voyageurs, plus collante que la Team Rocket ? Héhé, c'était moi !
Le temps avait passé pour tout le monde. Pour moi plus vite que d'autres. J'avais grandie et trouvée ce petit boulot qui consistait à ramener les portefeuilles à la mafia locale. Enfin, j'étais pas assez bête pour les ramener entiers non plus, hein.
J'avais très mal dormi; cauchemars sur cauchemars. (Comme quoï, assassiner sauvagement sa soeur jumelle, ça laisse des sequelles.) Ce qui fait que lorsque je vis le bonhomme noirâtre qui me fit l'effet d'un fantôme, je me demandais si je ne dormais pas toujours.

*Oh non, pas lui.* Puis, lorsque je me rendis compte qu'il était accompagné. *Quoï ?! Il a osé ?!*

Oui, bon, j'avoue que j'ai mal reçue cette nouvelle. A m'énerver toute seule sur place, je ressemblais à une ex jalouse. Pour être franche, ma vie amoureuse à moi était restée platonique et cela... M'enrageait de le voir avec une fillette le dévisageant avec des yeux de biches...
Après tout, c'était qu'un rival, hein ?
Difficile de m'en convaincre tout de même. Tout en essayant je les suivais tout les deux de trèèès loin. Je le connaissais assez pour savoir que la meilleur façon de ne pas les perdre de vue c'était de les voir le moins possible. Valait mieux pas se faire remarquer.

*Enfin, ça aurait pû être pire !* Bah, oui, imaginez que ça soit sur l'autre crétin que je sois tombée ? Lui, je ne lui avais toujours pas pardonnée de m'avoir laissée mourrir en plein désert !
Le charmant couple allait, pendant que je m'énervais de nouveau contre quelqu'un qui ne le savait pas, vers les immeubles.
Moi, j'étais montée sur Lero et je les regardais de toujours aussi loin. De haut, on pouvait voir qu'il y avait un chat avec eux.
J'eu l'air bête lorsqu'ils rentrèrent dans un des immeubles. Comment les suivres sans se faire repérer ? ...Bon, si ça se trouve, j'étais déjà grillée depuis longtemps. J'essayais de me rapprocher lorsque j'entendis à moitié un discours assez étrange et que je compris totalement de travers...

-Ça fait un moment... ...Toi et le chat, et c'est facile à deviner.... Mais, dis-moi....Au contraire, c'est mieux comme ça, mais je trouve que c'est un peu... Comment dire... Étrange?!

*Nan ?! Après la fille le chat ?! Mais c'est pas vrai, il a décidé de m'enrager, lui !*

C'est plus ou moins à ce moment là qu'un pigeon que je n'avais pas vu fonça sur moi et me fis tomber de Lero.
Lourde chute de trois mètres. Je lance un regard ébété autour de moi. Je... Suis vivante ?! YES !! Bon, je suis dans la rue, ils sont dans l'immeuble... Suis-je repérée ? En tout cas mes fesses -Je suis tombée dessus- Me font vraiment mal...

L'on venais tout juste d'arrivée sur le continent américain, a première vu c'était encore calme, vu l'heure en même temps il n'y avais pas trop de quoi se poser la question.
Ils commencèrent a avancer dans la ville, Sakume regardait tout autour d'elle, elle semblais curieuse de voir comment était cette ville.
Moi j’étaie plutôt aux aguets, connaissant brièvement les mœurs de cette ville, je ne m'attendais pas à croiser des gens très fréquentable, sa faisait bizarre, moi qui d'habitude était content de tomber dans de mauvaise situation, la je préférais les éviter, mais bon si il devais se passer quelque chose cela ne serais pas dure de s'en tirer indemne.
Après quelques instant de marche, l'on croisa Lucie, j'était assez surpris qu'elle est quitter le continent asiatique, mais s'était pas pour me déplaire sa faisait longtemps que je ne l'avais pas vu.

Elle grimpa sur moi réclamant des caresse, se que je fit aussi tôt.

Je te présente Lucie, c'est une amie a moi, tu verra maintenant qu'elle est la, elle ne sera jamais bien loin de moi.
En revanche elle n'est pas du genre à s'acoquiner avec tout le monde.

Lucie s'était mis a se frotter contre Sakume en ronronnant.

Ah bon bha elle t'aime déjà, la tu viens de te faire une amie de confiance.

Lucie descendit et se mit à allez de l'avant, nous montrant qu'elle voulais qu'on la suive. Elle nous mena dans un vieux bâtiment abandonner.

Sakume quand a elle ne semblais pas très rassurer.
Ça fait un moment que ça me chicote. Je te vois, toi et le chat, et c'est facile à deviner que c'est ton chat de compagnie. Mais, dis-moi, pourquoi il nous a amené ici?! C'est pas que ça me dérange, au contraire, c'est mieux comme ça, mais je trouve que c'est un peu... Comment dire... Étrange?!

A peine entrée que je ressenti quelque chose, s'était pas très commun, il était clair que l'on n'était pas seul ici, malgré que je connaissait pas cette drôle de sensation qui titillais un peu, celle-ci me paraissait tout de même bien familière, étrange pourtant on ne peut pas dire que je connaisse du monde sur le continent Américain.

Hm honnêtement, je crois que Lucie a senti la présence de quelqu'un, mais rassure toi, j'ai tout confiance en elle et elle n'est pas du genre a m'amener droit dans un danger sans prend garde, par contre je ressent une drôle de sensation, reste toute de même sur tes garde, on est jamais assez prudent.

"j'ai l'impression que se sont des onde sonore effectivement c'est étrange, je ne me demande pu pourquoi Lucie ma amener ici, bon si sa joue avec le son jouons plutôt avec la vue, je ne sait pas c'est quoi ses onde mais je vais les brouiller on ne sait jamais. Hakkyou a toi de jouer."

Il n'avais a peine fini sa phrase qu'il se mit à ricaner.

Je me mit à ricaner, je demanda à Sakume de rester silencieuse et de me suivre de prêt. L'on se mit a monter les étage un à un, quand soudain, l'on aperçus deux jeune.

"Tiens c'est eux, décidément c'est la journée de retrouvailles"

L'on se mit derrière eux, et je lâcha mon entrave.

Bien le bonjour, comment allez vous depuis la dernière fois, je trouve sympa de constater que vous ne vous porter pas plus mal que la dernières fois.
Rester calme on est pas la pour vous bouffer, c'est Lucie qui nous a mener ici et je suis plutôt surpris de vous voir ici.
Comment se fait il que vous ayez quitter Londres?

Il se mit à faire la causette comme si de rien n'était d'un air détendu.

Une question le blondinet, c'est de toi que ses onde je tiens cette sensation étrange que j'ai? Si c'est le cas c'est plutôt pas mal, je doute que beaucoup de gens puisse le sentir. Pour ma part par contre je trouve sa un peu irritant, j'ai l'impression d'avoir des termite dans le corps.

-...Puisqu’on ne devrait connaitre personne dans ce coin.

*Oui, c'est probable; j'ai dû rêver.*
Léger soupir de soulagement, petit bâillement retenu. Aujourd'hui, on allait quitter cet appartement pour aller... Où d'ailleurs ? On ne connaissait rien dans ce pays. On était en quelque sorte perdu. Je me sentais mal et inutile. J'étais peut-être mieux à Londres, dans la région qui m'a vu grandir... ? Non ! Surement pas. J'attendais que mon grand-frère dise ou fasse quelque chose. Ce n'est pas comme si moi, j'avais quelque chose à faire. Tout ce que je savais, c'est que j'avais hâte de quitter ce lieu. Surtout si, comme je l'avais pressentit, il y avait d'autres personnes ici. Nan, c'est vrai qu'il n'y en avais pas. Mon grand-frère vient de me le dire. Cette vie-là n'est quand même pas ce que je recherche. J'adore rester auprès de mon grand-frère, mais j'aurais aimé qu'on se trouve un chez-soi, plutôt que de passer sa vie à traîner dans les rues. J'espère qu'on finira bien par s'installer quelque part quand même ! De toute manière je ne me vois pas, à 60ans, encore voyager de ville en ville...
Au final, je me suis perdue dans mes pensées. C'était la faute à un personnage d'un roman que j'avais lue à l'époque, qui à soixante ans vagabondait encore.

Ce qui fait que lorsque j'entendis quelqu'un juste derrière nous, mes yeux s'agrandirent dans un mouvement de frayeur et je poussais un gros cri. "AAH!"
Il y eu un gros bruit d'eau qui gicle. C'était l'humidité de l'air qui s'était rassemblée pour se jeter à l'aveuglette vers l'endroit où on venait de parler.
Agrippée d'instinct au bras de mon frère, je le tirais loin de la bestiole qui parlait. J'étais prise de panique.

Le papillon bleu que j'avais envoyé revient de sa petite reconnaissance. Il me signalait la présence de trois, voire quatre personnes dans les alentours, dont au moins l'une d'elle possède une aura similaire à une autre que nous avons déjà croisé auparavant. *Cela ne me dise rien qui vaille.. C'est comme la dernière fois où tout a dérapé.. Si ça recommence encore, je ne squatterais plus jamais d'immeubles désaffectés.. Je me ferais inviter chez des gens.. Bon, c'est vrai que ça ne se fait pas de manipuler l'esprit des gens à des fins personnels, mais ce n'est pas un si grand mal, quand on songe que chaque nuit passé dehors peut nous coûter la vie de nos jours..* Alors que j'étais toujours perdu dans mes pensées, j'entendis quelqu'un s'adresser à nous suivit d'un gros : "AAH !! " ~Splash*

Ce n'est lorsque je senti mon bras serré en signe de protection que je compris qu'il fallait que je sorte de ma torpeur.. Je comprenais désormais sa soudaine réaction, mais que fait-il là ? Restons sur nos gardes, tant qu'il n'aura pas de gestes brusques, tout ira bien je pense..

- Comment se fait il que vous ayez quitté Londres ?

- En tout premier lieu, excuse-là pour son comportement, mais de une, surgir derrière les gens comme ça, c'est pas la meilleure manière de faire si on veut éviter les surprises, et de deux, c'est pas comme si j'étais réellement enchanté de te revoir par ici. Je dirais même plus, ta présence ici à quelque chose d'assez intriguant.. Hum' Enfin bref, pour ce qui est de notre venue ici, c'est très simple.. Le quartier où nous vivions était devenu un peu trop bruyant, et surtout un peu trop détruit à notre goût, depuis ton dernier passage si tu vois ce que je veux dire.. ! Et toi, qu'est-que qui te pousse à venir une fois de plus à notre encontre ? Si c'est l'immeuble que tu veux, je te laisse, nous on va aller ailleurs.. Et pour répondre à ta question, ces ondes que tu as senti provenaient bien de moi, j'effectuais une simple reconnaissance topographique des lieux, et comme tu l'as dit, ça n'avait pas pour but d'être ressenti. J'ai dû y allé un peu trop fort par mégarde, je crois. Néanmoins, seul un fin limier avec un instinct animal assez développé pouvait ressentir des ondes d'une si basse intensité..

Lucie guidais Taryuki et sa nouvelle amie Sakume, elle les guida dans les étages, tandis que Taryuki semblais avoir compris que je ne l'amenais pas pour rien dans un endroit aussi insolite et mal décorer que cette immeuble, Même les rats ne semblais pas en vouloir, pour dire.
ils avancèrent tout les trois et montais, montais et montais encore jusqu’à qu'ils croisèrent deux petit humain.

"miaow c'est le petit danseur folklo et la belle au bois-dormant, qu'il lui roule un patin sa la réveillera miaow"

Elle se mit dans un coin tout en suivant Taryuki qui s'était mis derrière eux, puis se mit a faire sa toilette.
Se grand comique de Tary venais de les saluer de manière totalement incommode, le rôdeurs se fit éclabousser on ne sait comment.

"miahahaow trop drôle, mais qu'elle s'avise pas te m'éclabousser ou je sort les griffes."

Elle s'allongea et les regardât discuter,quand elle vit Sakume dans sont coin ne disant rien, elle décida de se faire remarquer puis d’aller la rejoindre. elle se frotta contre ses jambe pour qu'elle-ci la prenne dans ses bras.

Miaoow
"heyy les tocard faudrait voir a pas oublier notre nouvelle pote, hmm elle sent bon en plus rhonnnnnnn"


NOTE: (elle ne parle pas enfin vous ne la comprenez pas si vous voyez se que je veux dire x) )

Elle écoutait son compagnon parler au deux étrangers qui étaient devant elle. Elle ne disait point un mot ne savant pas quoi dire et comment se placer, donc, elle se taisait. Puis, elle sentit le frottement du chat de celui-ci. Elle regarda vers le sol et vit que celle-ci lui faisait des yeux de biche. Elle ria en silence en affichant un grand sourire. Elle se pencha et la pris dans ses bras.

Aller, viens ici, toi!dit-elle à voix basse.

Elle commença à lui flatter le derrière des oreilles et le dessous du menton. Les chats adorent ça. Tout en murmurant, elle lui rajoute:

Tu es chanceuse ma petite Lucie, j'adore les chats.

Puis, durant le temps que Taryuki discutait avec les deux jeunes gens, elle décida de sonder un peu les alentours, discrètement. Question de sécurité. Elle mit ses sens à son service. Rien d'anormal se produisait, sauf à l'instant même, elle sentit la présence d'une personne qui ne serait pas censée être dans ce coin-ci. Puis, tout d'un coup, elle ne la sentit plus nulle part. Peut-être avait-elle passé juste devant eux sans s'en apercevoir. Elle fit un soupir de soulagement, mais elle sentit qu'elle devait leur en tenir compte, sauf qu'elle préfèra attendre qu'ils aient finis leur petite conversation, pensant que ça ne devait pas être très urgent.

Elle continua à flatter la petite tête de la bestiole à quatre pattes, un peu perdue dans ses pensées, tout en regardant ces trois personnes qui se chamaillaient sur un sujet dont elle ne savait pas le contenu. Leur situation était quelque peu précaire. Elle aurait voulu parler avec eux, mais comme leur discussion ne la regardait pas, elle préfèrait penser à autre chose. Donc, elle décida de rester planter là, à les regarder, plongée dans le fin fond de son esprit à se préoccuper de ce qu'elle venait de capter.

A l'intérieur du bâtiment se trouvait un gars que je n'avais pas envie de voir, sa p'tite copine, et un chat avec lequel il, d'après ce que j'avais compris, était plus intime qu'avec sa propre p'tite amie.
En fait j'aurais déjà dû tourner les talons. Etait-ce une curiosité malsaine ou alors la flemme de retourner à mon boulot de "je pouille les gens de leur porte-feuille 'achement lourd" qui me poussa à rentrer aussi ?
D'un ordre mental -C'est mieux que de hurler quand on essaie d'être discret-, je dis à Lero de se transformer en cape et de prendre les motifs des murs. Bref, en gros ça me faisait plus ou moins une cape d'invisibilité. A demi dessous, j'avançais jusqu'à la source du bruit.
J'allais quand même éviter de surgir dans la pièce, mon vieux poto' risquait de mal le prendre. (Et d'me réduire en charpie par la même occasion.)
J'me demandais juste ce qui se tramait là. Des hypothèses un peu bizarres d'adolescente toujours célibataire -C'est qu'ça m'tracasse-, me poussaient à imaginer que des choses pas très religieuses allaient se passer dans l'immeuble.

*Au pire, Léro se transformera en caméra et je pourrais revendre la cassette.*

Contre le mur de la pièce où tout le monde était... -Bah oui, ils étaient pas seuls, y'avait deux autres voix dont une gueularde.- ...J'écoutais.

La conversation était pas terrible et je pouvais sentir et certaine tension, il n'avaient pas aimer la leçon de la dernière fois.

Ne t'excuse pas, se n'est pas grave, et pis j'ai la mauvaise manie de faire peur au gens, faut bien que moi aussi je sois surpris de temps en temps.
Ah et ne sois pas si tendu, la raison de ma venu ici, c'est simple c'est Lucie, mon amie félin que vous connaissez déjà si je ne m'abuse.

Déstresse gars tu est tout tendu, mais toi a danser si sa te soulage, je suis pas la pour m'en prendre a vous, je suis tout aussi surpris que vous de vous revoir ici.
Si je me suis montrer si peu gentil avec vous la dernière fois, c'était pour vous apprendre que se monde est dangereux et que l'on devrais toujours faire attention a la ou on pose les pied.
Vous étiez tout de même a coter d'un repère de malfrat, de vous y retrouver sa m'avais plutôt rendu sceptique, ne vous plaignez pas, sa aurais été les flics vous auriez été embarquer si il vous coinçais.

Taryuki avais une drôle de sensation comme s'il se sentait observer, il regardait autour de lui, mais il semblais rien n'y avoir de louche, et pourtant cette sensation persistais c'était frustrant.

Miaoow

Haow excuser mon impolitesse, je vous présente ma no.. heuu une amie Sakume.

"Rhaa cette sensation me gave, paranoïa ou non j'en est marre, Hakkyou je vais avoir besoin de ton pouvoir. Voyons qu'est se qui ferais bouger les chose."

Il se mit à caresser Lucie tout en ricanant, il passaient pour un fou mais bon sa le faisait tellement rire qu'il pouvais s'en empêcher.

Rhahaha ah c'est parfait rhahahahah.

Il était plier de rire, soudain la pièce fut éclairer et un bruit de moteur se fit entendre, non pas un moteur des hélice, un hélicoptère semblait arrivée quand soudain, le mur s'effondra et qu'un hélicoptère arriva dans la pièce pour s'écraser, la pièce n'était pas si grande cela allais être dangereux et surtout provoquer de la casse.

Lui ! Lui ici !
Je gardais un souvenir très très flou de ce triste individu, mais je n'avais sérieusement pas envie de m'en rappeler. Je me souvenais vaguement de ce qui c'était passé à cette époque. Je revois beaucoup de sang, de cris... Et de m'être fait mal à la tête.
Aussi j'étais tout à fait dans mon droit de tirer mon Grand-Frère le plus loin possible de lui. Le problème c'est que Grand-Frère est lourd et qu'il ne se laissait pas tirer.

-On-s'en-va-on-s'en-va-on...

J'étais toujours quelque peu paniquée pour ne pas dire beaucoup. J'avais envie de partir de cet endroit. De toute manière cela ne servait plus à rien de rester ici alors pourquoï ne pas partir ? J'étais mal, très mal. J'étais malade même. Tellement malade qu'il fallait vite s'en aller d'ici.
Malgré ça, mon Grand-Frère continuait de lui parler. Il ne comprenait pas. Il est dangereux. Il fallait partir d'ici au plus vite. Comme s'il fallait le croire, avec ses belles paroles ! Il mentait c'est tout.
C'est à ce moment-là que j'entendis un bruit bizarre, effrayant. Qui se rapprochait. Comme un bourdonnement. Instinctivement, je me bouchais les oreilles.

-On est en danger.

Le bruit devenait trop fort pour moi. Il se rapprochait de nous rapidement puis il y eu un énorme fracas. Par un mauvais réflexe, je tombais par terre en position fœtale, incapable de bouger.

J'étais une fois de plus face à lui. Ma dernière rencontre n'ayant rien présagée de bon, je ne faisait pas vraiment attention à ce qu'il disait. *Du miel pour pour appâter les abeilles, me dit-je. Tu nous a déjà fait le coup une fois, je me ferais pas avoir cette fois..* J'étais tellement fixé sur lui que je n'entendais même plus ce qu'il me racontait. Trop occupé à imaginer ce que je pourrait faire au cas où.. *Au moins nous ne sommes pas à l'extérieur, ou dans un terrain vague comme l'autre fois.. Les possibilités de fuites en sont donc accrues, et ça c'est plutôt positif. Le problème, c'est que je ne sais pas si ce qui se passerait si je l'attaquais. Il pourrais probablement se servir de son illusion pour esquiver. Le plus gros problème serait en fait son chat, qui pourrait aisément nous donner la chasse. Il faudrait que j'en sache plus sur ses pouvoirs. En tout cas une bonne dizaines de mètres au dessus du sol entre lui et nous serait pas de refus pour s'enfuir, et encore. Il pourrait très bien planer comme je le fait.. ?*

Je sentais de nouveau mon bras se tirer vers le coté, ce que je devinais comme un signe d'inquiétude pour elle. *J'aimerais bien partir aussi sur le champ. Mais le problème, c'est que je ne peux pas détourner les yeux ne serait-ce qu'une seconde de lui.. Il s'en servirait contre nous. Je suis tellement focalisé sur lui, que je n'arrive même pas à t'adresser la parole. Je ne crois pas me souvenir avoir déjà été dans cet état. Ce sentiment profond d'appréhension et de haine m'accapare totalement.
Ai-je déjà ressenti de la haine, pour savoir ce que c'est ? De la colère, oui. Mais de là à dire de la Haine. Et pourtant, je pense que ça pourrait bien en être. Il est toujours dans nos pattes, à jouer les rôdeur-traqueur, sans craintes ni reproches.. A nous balancer illusions par-ci, illusions par-là en nous disant qu'il ne nous veut aucun mal. Alors qu'en vrai, ça serait plus un truc du genre :

- Non'non, restez-là. Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas un ennemi. Je suis juste un sadique qui cherche des jouets avec lesquels il pourrait bien s'amuser. Et rien d'autres ~ Mouahahaha' !!!

Voilà ! ça c'est plus proches de tes réels intentions, m'imaginais-je... * C'est à ce moment que pris compte qu'Eiffel venait de chuter à terre, la tête entre les jambes. D'un effort surhumain, je parvins à faire un plongeon auprès d'elle, et lançais mon sort qui s'apparentait à un bunker sonique.
*Être à l'abri, c'est une chose. Mais maintenant, je fais quoi ?
Je ne pourrais pas rester indéfiniment comme ça. *
Je devais trouver une solution de toute urgence..

Tout le monde était en trin de discuter, malgré une certaine tension qui avait entre Taryuki, le blondinet et la petite aveugle.
Lucie venais de sentir la présence d'une autre personne, elle semblais proche, mais était trop occuper à se faire caresser par Sakume qui se montrais très douce, la tension était à sont comble quand soudain un bruit proche et sourd se fit vite entendre, tout le monde était au aguets mis a part sont amis qui on aurais dit qui est péter un fusible a se mettre a rire en caressant la féline.

Un hélicoptère se mit soudain à traverser le mur aussi rapidement que cela était imprévisible.
Lucie se mit a faire le gros dos, elle sauta au sol et fit appelle a Byakuya afin de s'esquiver des hélice qui détruisait le sol et les mur.
Elle disparut aussi tôt sans que l'on puisse voir quoi que se soit.

Elle les écouta parler. Elle commençait à en avoir marre de ne pouvoir rien dire et rien faire. Elle laissa quelques minutes encore pour qu'enfin ils remarquent qu'il y avait quelqu'un d'autre, elle par exemple, mais ne la remarquèrent toujours pas. Cette fois-ci, elle se lâcha.

Non mais, vous en avez pas marre de vous regarder en chien de fusil???!!! leur dit-elle en déposant le chat par terre. Je sais pas ce qui vous ai arrivé entre vous trois, mais vous voyez pas la situation?!?!?! On est tous dans le même pétrin ici!!! Donc, laissez vos différents de côté et pourquoi pas recommencer à zéro tant qu'à y être, non?!?! Il a peut-être fait une erreur la dernière fois, mais ça veut pas dire qu'il va tout le temps le faire!!! On dirait de vrais gamins!

Au même moment, un bruit assourdissant commençait à se faire entendre. Un hélicoptère venait rapidement à leur rencontre pour s'effondrer contre le bâtiment. Le mur cèda rapidement sous l'impact. La jeune femme se précipita rapidement sur les deux inconnus. Une grosse bulle rouge les protégea de l'attaque quelque peu sadique de son compagnon. Elle savait que celui-ci pourrait s'en tirer facilement vu que c'était lui qui venait de faire produire cette petite catastrophe.
Quand le mur fut complètement détruit, elle fit disparaître sa bulle et se dirigea vers la tête rougeâtre.


Et toi! lui dit-elle avec une petite pointe de colère. Même si tu te sentais observer, moi aussi d'ailleurs, ce n'était pas une raison de faire quelque chose de si gros je te signale. Tu aurais juste pu détruire le mur tout simplement. Et avec tes illusions, ça t'aurais faciliter la tâche. Et surtout, tu as mis la vie de tout le monde en danger avec une idée pareille. Je sais pas si tu te souviens, mais on est très à l'étroit ici, donc c'est plus dangeureux!!! Bravo la discrètion!!!

Elle marcha d'un bon pas vers la grosse ouverture improvisée, décidée d'aller prendre l'air et aller se calmer. Juste avant de le passer, elle donna un coup de pied sur une bouteille en vitre qui se trouvait curieusement sur son chemin. Il frappa quelque chose que personne ne pouvait voir et cela fit un drôle de bruit, comme si ça avait atteint quelque chose à la fois mou et dur. Elle se retourna, furaxe et cru voir quelque chose bouger. Durant quelques secondes, elle pensait qu'elle délirait. Puis, au même moment, elle venait de réaliser ce qu'elle venait de dire quelques minutes plus tôt. Une honte montait en elle comme une flèche. Elle se retourna à demi et regarda le sol, gênée de les regarder de face.

Je vous demande pardon. Je sais pas ce qui m'a pris. dit-elle honteuse.

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(HRP: Ça m'a donné un petit boum d'inspiration, désolée du robuste. ><'')

Quand elle se fut plus tranquille, son esprit était plus clair mais toujours en alerte. Devant elle, elle crut voir quelque chose bouger. Elle vit un mur se pencher vers le sol pour ramassé la bouteille qu'elle venait de botter.

*Attends une minute, je rêve là !!!*se dit-elle.

Mais non, elle ne rêvait pas. La bouteille fut relancée et réussissa à l'éviter de justesse. Un mur venait de lui balancer une bouteille. Hélas non, car, elle vit une touffe de cheveux noir à découvert sous une espèce de cape. Elle devina que c'était bel et bien l'inconnu qu'elle ressentait la présence depuis qu'elle était arrivée dans l'immeuble.

Taryuki! Je l'ai vu! Il est juste devant moi, je viens de le voir bouger!

Maintenant que celui-ci était au milieu du couloir, tout le monde l'avait à vue. Donc, maintenant, impossible de se cacher à présent. Pour ne pas qu'elle essaie de s'enfuir, discrètement, elle fit apparaître un mur rouge derrière l'étrange fugitif. Seul contre quatre, personne ne voudrait se retrouver dans ce genre de situation. Mais, dommage pour celui-ci, lui, se retrouvait dans ce pétrin.