Sous un temps pluvieux tout à fait typique de Londres, les voiture continuais leur route sous une fine pluie pourtant battante, les trottoirs enseveli par l'eau, un homme encapuchonner faisait sa route évitant de se faire éclabousser par les véhicules qui passait non loin de lui.
Après quelques centaine de mètre de marche a pied, il arriva à une intersection menant d'un coter sur une grande rue qui semblais allez en direction du centre ville et de l'autre un lycée pour enfant de bonne famille. Il se dirigea en direction des rue piétonne quand quelque chose l'interloqua du coter de l'école. Un élève de taille conséquente maltraitais l'un de ses camarade, tandis que d'autre regardais le spectacle.
Le sourire au lèvres il changea de direction et s'avança tranquillement en direction du portail.

"la violence est une chose, mais l'on est toujours loin d'imaginer se que ceci pourrais engendrer."

Le jeune garçon qui se faisait maltraiter se releva et sorti un couteau équiper d'un cran d'arrêt et se mit a poignarder sont oppresseur qui tomba au sol.
La racaille repris soudainement ses esprit, regardant sa victime, sous le choc il recula tremblotant et voulant prendre la fuite, il bouscula Taryuki.
Il leva les yeux regardant cette personne de noir tout habiller qui le fixait sous sa capuche humide.

Tu ne peut pas regarder ou tu met les pied l'avorton.

Effrayer il prit ses jambe a sont coup, ainsi que ses camarade qui le suivit sans trop comprendre se qui venais de se dérouler.
Taryuki aida le jeune garçon et lui dit de partir retourner a ses occupation. Celui-ci le remercia et pris en compte le conseille et s'en alla.

A sont tour Taryuki commença a partir quand il aperçut plus loin une silhouette familière. Étonner mais ravie il s'avança vers elle qui semblais ne pas l'avoir vu. Une fois prêt d'elle.

Bien le bonjour charmante demoiselle, qu'elle plaisir de te revoir. Alors que fait donc ici, on se promène? Ou peut-être bien que tu est élève dans se lycée?

Dit-il avec sourire.

Quand elle entendit la voix familière, elle releva la tête et vit le jeune homme qui se tenait à côté d'elle.

Taryuki! Bonjour! Mais que fais-tu ici? Pour répondre à ta question, je me promène, tout simplement.

Elle était contente de le voir. Puis, elle vit qu'il se protégeait de son capuchon et qu'il était complètement trempé. Elle se déplaça pour lui laisser une place à côté d'elle en-dessous du parapluie.

Aller, viens te protéger un peu, tu es trempé. Tu n'as pas trop froid? La température a diminué quand ça commencer à tomber.

Elle tapa de sa main la place libre qu'elle venait de lui faire. Le parapluie était assez grand pour deux personnes. Pas de risque d'être hâpé par la pluie ni l'un ni l'autre. De toute façon, la pluie avait diminué, elle était devenue un peu plus fine. Mais cela ne changera pas grand chose à la situation de son ami qui lui, on pourrait dire, venait de prendre une douche.

À moins que tu préfères qu'on aille dans un endroit un peu plus chaud pour te sécher et te réchauffer?dit-elle après mur réflexion.

La jeune demoiselle lui fit signe de s'asseoir a ses coter afin de se mettre a l'abri, elle était souriante et semblais contente de le voir.
Celui-ci ne se fit prier et s'installa sous le parapluie en faisant attention a ne pas mouiller Sakume a cause de ses vêtements mouiller.

Disons que comme la folie qui traine partout dans le monde, je me promène cette vaste terre. Ne t'en fait pas pour moi, j'ai l'habitude.

Dit-il en tremblotant.
Il regardais le ciel couvert de nuage, il trouvais sa tristement beau, mais surtout divinement chiant.

Oui sa ne fait aucun doute et avec se petit vent qui commence a se lever la température n'est pas prêt de monter

Il se mit a la regarder et esquissa un petit sourire. Celle-ci lui demanda si il voulais allez ailleurs afin d'avoir plus chaud.

Je ne voudrais pas nuire a tes occupation même si je trouve que de rester dehors sous la pluie est un drôle de moyen de s'occuper.

Le nez commença a le piquer et laissa sortir un petit éternuement.

Atchoum... .

Ne t'en fais pas, je ne suis pas très occupée. J'essaie de me changer les idées.lui répondit-elle.

Quand il atchouma, elle le regarda et ce leva.

Bon, je t'ai peut-être fais t'assoir pour rien. On va aller dans un endroit que je connais bien. Il n'est pas très loin d'ici. Aller viens, je te paies un café.

Ils sortirent de l'enceinte de l'école pour virer sur leur droite. Ils marchèrent tranquillement tandis que certains passants se dépêchaient à aller s'abriter, jasant de tout et de rien. Trois à quatre rues plus loin, Sakume entraina le jeune homme avec elle dans un petit café discret et chaleureux. Une douce chaleur reignait dans la salle bien décorée.

Une femme allait à leur rencontre pour choisir leur table quand un homme se fit entendre.

Laisse Sofia. Saku, ta table est déjà réservée.

Elle regarda en direction de la cuisine. Le chef du petit café se tenait dans le cadrement de la porte.

Merci John.dit-elle en le saluant de la main.

Elle le conduisit avec elle vers une table à l'écart des regards, proche d'une des fenêtres. Elle y déposa son parapluie contre le mur et s'assis sur une des chaises présente à la table pour deux. Une petite lampe éclaira la table de couleur marron.

Voilà, c'est mieux comme ça, non ?

Après-être arrivée dans un charmant petit café du coin et s'être installer à une table. Sakume se tourna vers Taryuki.

"Voilà, c'est mieux comme ça, non ?"

Sa semblais travailler dur dans les cuisines, l'on pouvais facilement entendre le gérant donner des instruction a ses employer.

Oui sa commence déjà a allez mieux, merci de t'en préoccuper. J'avoue que je commençais a avoir froid, j'ai décidément du mal a m'habituer au climat de se pays, mais en même temps je trouve que c'est se qui fait parti de sont charme.

Dit-il avec sourire.
Le chef arriva avec deux café bien chaud et deux tartelettes au fruit avant même que l'on ne passe commande. Tout cela semblais délicieux.

C'est la maison qui offre, fait attention a ne pas vous bruler le café est bien chaud.

Taryuki ne manqua pas de remercier sont hôte avec politesse puis il regarda Sakume tout en lui souriant, ils se mirent à discuter tout en dégustant leur succulentes pâtisserie fuiter.
Taryuki souleva sa tasse afin de boire une bonne gorger afin de se réchauffer.

Sakume depuis notre dernière rencontre, il y a quelque chose dont je voulais te parler dont je n'est pas eu le temps.

Effectivement la dernière rencontre avait été mouvementer, des assaillant avait pris Sakume pour cible. Le patron du café s'approcha de la table, des bruit de pneus crissant se fit entendre au bout de la rue.
Taryuki se mit a prêter sont attention sur l'extérieur, tandis que le gérant prenais des nouvelles de Sakume.
Soudain le cœur du jeune se figea un court instant comme si le temps s'était arrêter.
Il s'empressa de se lever et sauta sur Saku afin de la plaquer au sol, la fenêtre se brisa dans un éclat de bruit assourdissant tandis que le chef s'écroula au sol laissant s'échapper du sang de sont buste.
Un coup de feu venais d'être tirer, le café se faisait attaquer pour des raison encore inconnu.

Rhaa c'est pas vrai, Sakume j'ai pas le temps de t'expliquer tout dans les moindre détail, tu est en danger ici, il faut que je te sorte de se guêpier et vite.

Elle semblais choquer de voir une connaissance a elle s'être fait ôter la vie sous ses yeux, après tout a qui cela plairais t' il.

Écoute moi bien, je ne pourrais pas te le répéter, passe par la porte de derrière je vais m'occuper de ses type, afin que tu puisse t'enfuir, il te prendrons certainement a revers, reste sur tes garde, tu possède un pouvoir très puissant que peu de gens possède use en afin de rester en vie, ne cherche pas a combattre pour le moment. Sauve toi, je saurais te retrouver fait moi confiance et en cas de problème envoi moi un signal, tes capacité très personnel si je puisse dire pourrons t'aider, j’accourrais aussi tôt.
A tu bien compris?
Fait moi confiance et il ne t'arrivera rien.

le personnel du café était apeurer et courrais dans tout les sens, hurlant de peur et d'effroi, l'anarchie s'était emparer de la rue.

Quand le gérant du café arriva à leur table, elle le remercia et commença à déguster cette petite merveille fruitée. Puis du coup, le jeune homme s'apprêtait à lui parler de quelque chose d'assez important quand celui-ci la plaqua contre le sol.

Mais qu'est-ce que...s'apprêtait-elle a dire quand elle vu le corps de l'homme qui tombais en avant d'elle.

En même temps que son ami disait des mots qui étaient incompréhensibles à ses oreilles, elle cria le nom du corps gisant à terre. Celui-ci resta inerte, sans vie. Les yeux ouverts, on aurait dit qu'il vivait encore. Une autre personne venait de mourir devant ses yeux, elle qui ne voulait pas revivre cette scène. Quand son compagnon la secoua, elle tourna la tête en sa direction.

Elle écouta ses paroles se déversant sur elle comme une vague s'échouant contre les rochers.

Mais attends, qu'est-ce que tu racontes?

Il continua à lui dire quoi faire. Elle lui répondit:

Oui, mais et toi...?dit-elle sous le choc, les larmes montantes.

"Fait moi confiance et il ne t'arrivera rien."dit-il pour toute réponse

La peur commença à s'emparer d'elle, mais pour empêcher qu'elle parvienne totalement jusqu'à elle, elle lui dit, les larmes coulantes:

Tu es mieux de la tenir. Je veux te revoir en vie et non dans un cerceuil.

En se levant en vitesse, elle frôla ses cheveux rougeâtre, espérant le revoir en vie le plus vite possible.. Elle alla en direction du fond de la salle et sortie par la porte de derrière. Quelques rues plus loin de la scène de crime, elle appella un taxi en sifflant. Une voiture jaune s'arrêta devant elle. Elle y entra et lui demanda destination l'aéroport.

Quelques kilomètres plus loin, elle remarqua deux voitures noires les suivre. Elle se calla sur son siège, espérant qu'il ne l'aille pas remarqué. Arrivée à sa destination, elle se dépêcha à aller au guichet et de montrer son billet valide pour plusieurs destinations différentes. N'importe lesquelles de celle-ci s'affichait sur les écrans de départ et d'arrivée. Elle prit la porte d'un avion au hasard. S'installa dans sur son banc, son sac de voyage avec elle.

Dix minutes plus tard, l'engin volant prit son envol. Dans un des hublots, on vit le regard d'une jeune femme voilé de larmes.

Après avoir donnée ses instruction a Sakume, qui semblais quelque peu désemparer par la situation.

Tu es mieux de la tenir. Je veux te revoir en vie et non dans un cercueil.

Elle parti aussi tôt sans attendre un instant de plus. Taryuki changea aussi tôt d'expression, sont regard était devenu mauvais. La haine et l'envi de meurtre s’emparait de lui, il se leva et fit face au malfrat cacher derrière leur voiture braquant celui avec leur pistolet automatique.

Ma vie me fait mourir... tandis que votre futur mort me fait déjà rire. Je vais vous envoyer si-pied sous terre, dans tout les sens du termes!!!

La confrontation avait déjà commencer, mais les bandit ne le savait pas encore. Il firent feu tout de suite après que Taryuki eut fini sa phrase. Les balle gisait dans le café telle un déluge. Le bruit retentissait a des kilomètre à la ronde. Il ne cessèrent de tirer sachant très bien a qu'elle genre d'individu ils auraient a faire, mais ils était loin d'imaginer que pour eux le cauchemar ne faisait que commencer.
Déchainer, Taryuki arriva par derrière et se mit a dé-nuques l'un d'entre eux. Ils changèrent instantanément la trajectoire de leur tire. Mais leur adversaire était loin de rester en place et disparaissait a tout bout de champ.

Hakkyou on ne joue plus montrons leur la puissance qui est notre, montrons leur qu'on ne fricote pas sous l'étoile du chaos sans y laisser des plumes, toi qui représente les cauchemars et la folie de se bas monde. Montre toi et déchaine ta folie meurtrière!

Le stand fit sont apparition, une bête colossal, une sorte de bipède portant les trait d'une hyène enrager. Tandis que des voiture arrivais en renfort, leur fin était bientôt proche.

L'heure du génocide a sonner, une fois de plus la folie va s'emparer de vos âme qui ne sont capable de comprendre se que se mot signifie. Mourrez et rendez-vous en enfer, la ou je continuerais de vous torturer pour l'éternité!

Il attrapa par le visage le premier malfrat qu'il avait sous la mains et le souleva avant de l'écraser violemment contre le sol dans un éclat de sang. Il donna un coup de poing qui traversa la portière de la voiture se trouvant juste a coter de lui, puis l'envoya rudement contre les occupant de la seconde automobile. Il se retourna de nouveau et se mit a regarder les chauffeur des voiture qui arrivais. Sous sont emprise ils perdirent aussi tôt contrôle de leur véhicule se qui provoqua un accident des plus effroyable, la première parti aussitôt s'écraser contre un mur, les passager était gravement blesser, tandis que le conducteur toujours sous l'emprise de sont bourreau continuais de forcer la mécanique qui mit guère de temps a s'enflammer et a exploser dans un grondement de flamme.
La seconde perdit totalement sont adhérence et parti en tonneaux droit sur Taryuki qui grâce a la puissance de sont stand la détruisit d'un coup de poing bien placer qu'il la fit exploser.
Celui-ci sorti des flamme indemne telle un démon grâce a la protection que lui avait apporter Hakkyou.

Sa sent la mort par ici, j'en connais a la morgue qui aurons du pain sur la planche.

Il s'empressa aussi tôt de gagner de la hauteur afin de repérer Sakume. Il s’élança aussi tôt sur le mur d'une grande tour et se mit a escalader comme une furie a grand coup de poing dans le mur. Une fois arriver il se mit a scruter les horizon, il remarqua à cent mètre de la deux voiture noire suivre un taxi de très prêt.

Trouver, je suis prêt a parier qu'elle est dans se taxi.

Il se mit a sauter d'immeuble en immeuble afin de gagner du terrain plus rapidement, ainsi il pu prendre les poursuivant de Sakume a revers. Sans une once de peur il sauta du haut du toit dans un rire d'hystérie et atterris sa sur le capot de la voiture du devant qui ne supporta point la force d'impact que provoqua Taryuki avec Hakkyou, la dernière ne put esquiver la voiture de ses collègue et fonça droit dedans.
Le fou eut juste le temps de sauter sur le toit d'une camionnette et de disparaitre de la vue de tous.
Il n'eut que très peu de peine a constater que le taxi qui avait pris de l'avance, se dirigeais tous droit vers l’aéroport.
Il s'empressa d'y allez dans une hâte démesurée. Il se dirigea sur les piste de décollage et se mit à cherchée Sakume.
Un avion était sur le point de décoller quand il vit à travers l'un des hublot La jeune demoiselle, les yeux couvert de larmes coulant le long de ses joue.

Yhaaaa kuso faut pas que cette avion partent sans moi, sinon mes chance de la retrouver serons réduit a néant.

Il réussis sa tant bien que mal a s'accrocher a l'arrière de l'avion qui commençais a prendre de la hauteur.

"Si je ne me dépêche pas je vais finir asphyxier."

Il repéra une trappe, par laquelle il fit tout se qu'il peu pour y arrivée et parvint a s'y faufiler. Celle-ci donnais sur la soute de l'appareille.

"pfiouu, sauver, bon j'ai plus qu'a reprendre mon calme et a retrouver Sakume."

Tandis que Hakkyou avait disparut, Taryuki pris cinq minute pour se calmer les nerfs. Une fois fait il se dirigea vers la porte qui donnais sur des escalier. Il les emprunta et finit par atterrir vers les passager.
Il traversa se grand couloir de siège tout en cherchant Sakume qu'il finit par trouver l'air dépiter, il s'approcha et...

Tu va bien?

Elle regardait par le hublot quand elle entendit la voix. Ce fut de plusieurs drôles de têtes qu'il y a eu comme spectacle. Quand celui-ci lui demanda:

"Tu va bien?"

Elle tourna la tête en sa direction et afficha un sourire.

Taryuki!

Puis, voyant ce qu'elle voyait à côté d'elle, son expression changea à la surprise.

Taryuki! Mais, qu'est-ce que tu fais ici? Je pensais que...

Par la suite, son visage montra la frustration.

Non mais ça va pas?! Tu sais pas comment je m'inquiètais à ton sujet? Idiot!

Elle le secoua comme un prunier.

Ne me refais pu jamais une chose pareille!dit-elle, les larmes aux yeux.

Un choc après l'autre fut une dose de trop. Elle ne savait plus comment se comporter et encore moins quoi faire. Les émotions montèrent rapidement sous le coup de l'adrénaline en surplus. Elle ne voulait pas lui dire et encore moins lui faire ce qu'elle lui faisait à ce moment-là. Même certains passagers se demandaient ce qui se passait entre les deux occupants. La jeune femme s'en souciait même pas. Du coup, elle se calma tranquillement.
Elle lui dit, toujours les mains aggrippés à son chandail comme si une prochaine partie était de mise:

Et oui... Je vais bien... Et toi...?

Tranquillement, elle déserra son emprise et se retourna vers le hublot, les mains tremblantes. Les poings serrés contre ses genous, elle ne savait plus quoi faire et ni quoi dire. Tout était mélangé dans sa tête, elle ne savait plus où elle en était.

A sont arrivée Sakume était dans toute ses états et en le voyant, elle semblait tout aussi agréablement surprise que énerver. Mais l'on pouvais constater qu'elle était grandement soulager.

Oui je vais bien ne t'en fait, ses type ne sont que de petite frappe.

Taryuki ne savait pas vraiment comment réagir, il s'assied a coter d'elle et posa sa main gauche sur le genoux de la demoiselle tout en voulant la regarder dans les yeux, mais il ne pu la regarder en face et baissa, les yeux.
Il était très embêter de se que vivais Sakume.

Je suis désoler de tout se qui t'arrive, personne ne devrais avoir a subir tout sa, je m'en veux de n'avoir pu t'aider à t'enfuir.
Je regrette sincèrement, encore une fois je te pris de m'excuser...

Taryuki ne savait plus quoi dire et c'était bien la première fois qu'il était touchée par le malêtre de quelqu'un. Il était complètement désemparer et tout ses gens qui la regardais comme si elle était un phénomène de foire.
Cela lui mettais les nerfs en pelote. Il serra sa main droite si fort que l'on pu l'entendre craquer, elle se mit à trembler tandis qu'une petite larmes glissait le long de sa joue.

Elle l'écouta parler. Elle savait que ce n'était pas de sa faute. Elle le savait, mais pourtant, c'était plus fort qu'elle. Elle était tellement choquée par les évènements précédents, qu'elle ne savait plus comment se comporter. Elle tourna la tête pour le regarder. Elle posa sa main sur celui du jeune homme qui était sur sa cuisse. Au toucher, elle cessa de trembler.

Je suis désolée. Je n'aurais pas dû me comporter de cette façon. Je sais que ce n'est pas de ta faute. Tout ce que tu faisais, était de me protéger. Ne sois pas dur envers toi-même.

Elle essaya de lui afficher un sourire, faire réduire l'ambiance froide entre les deux.

Tout ce qui compte, c'est que tu sois en vie et moi aussi, non?

Elle serra cette main présente dans la sienne. Le fait qu'il se donnait tout ce mal, pour une personne comme elle, la touchait. De plus, cela faisait à peine que quelques jours qu'ils se connaissaient. Mais le fait qu'il soit là avec elle, à passer tout ses épreuves difficiles, lui donnait la force de continuer.
Puis, elle se rappela ce qu'il essayait de lui dire, quelques minutes plus tôt.

Dis-moi, qu'essayais-tu de me dire quand nous étions dans le café? Ça devait être assez important vu l'état de la situation dans laquelle nous nous trouvons.

Puis, de sa main droite, elle en profita pour essuyer la larme qui coula sur la joue de son ami. De sa main gauche, elle serra un peu plus la main de celui-ci, doucement, pour le réconforter et en même temps, se réconforter elle-même.
En même temps, elle lui murmura timidement:

Merci...

Sa tremblote se calma légèrement, il laissa s'échapper un petit sourire, quand elle le remercia, il s’apprêtait a lui révéler se qu'il voulais lui dire plus tôt. Il s'approcha de sont oreille afin de lui chuchoter.

Ne me remercie pas, c'est tout naturelle voyons, enfin bref ses malfrat qui te traque, tout a leur je les est traité de petite frappe, mais en faite il font parti d'une sorte d'organisation si on puisse dire, car pour ma part cela ressemble bien plus a une secte qu'à quoi que se soit d'autre.
Ils était venu pour te tuer Sakume, ou s'il il t'avais attraper en vie, je n'ose imaginée se qui auraient bien pu te faire.
Bien sur tu n'est pas la seul qui cherche, enfaite ils sont a la recherche de tout possesseur de stand qui pourrais leur être utile, et s’il n'y a pas moyen de les assouvir bha ils les élimine afin d'être sur qu'il ne se mettrons pas travers de leurs route.
Il ne recule devant rien et crois moi les victime innocente ils s'en contre fiche.

Il baissa les yeux et perdit un peu le sourire.

Tu dois te demander pourquoi j'en sait autant la dessus. Tout d'abord je vais te dire pourquoi je le sait ensuite je vais te dire se qu'ai en vue de faire.
Tout d'abord, il faut que tu sache que mon stand n'est pas une étoile bénéfique, elle est solitaire et très puissante. Je me suis imposer des principe et j'ai du apprendre à me contrôler afin de ne pas faire de tort au gens innocent. J'ai donc l'habitude de me promener partout et souvent aussi dallez faire un tour dans les endroit les plus sécurisé et les plus dangereux, même les plus caché.
Et justement un jour je suis tomber sur leur secte, et se que j'y est découvert était pas très...comment dire...jouasse, Ils sont a la recherche d'un objet qui permettrais de ramener a la vie se qu'il dise être une sorte de dieux, mais je ne sait pas se qu'il cherche précisément la seul chose que j'ai compris, c'est que sa devais ressembler à un masque, mais eux même ne savent pas ou ils se trouve.
C'est pour cela qu'en attendant que leur recherche porte leur fruit, il se mette a la recherche de stand capable de les aider.
Enfin bon... après cela pour la première fois, je me suis dit, que si cela était vrai, se qui ne m'étonnerais pas quand on vois les pouvoir que nous avons, c'est que je ne voulais pas avoir affronte se dieux dont il parlais.
il ne savent pas que je connais leur intention, mais il on eut plusieurs fois a faire a moi, pour sa qu'il me connaisse. D’ailleurs je sait pas pourquoi mais il t’ont dans le collimateur, mais maintenant qu'ils savent que je suis avec toi, il vont réfléchir a deux fois avant de revenir a la charge.

Il posa sa tête sur la siège regardant le plafond.

Quand a se que j'ai entrepris de faire, c'est de réunir les possesseur de stand d’où comme moi leur étoile font parti des plus puissante afin de faire fasse a se qui risque d'être un vrai fléau.

Voila, a présent tu sait tout se que je sait, et se que j'ai l'intention de faire.
Mais j'ai aussi fait une promesse, et n'ayant qu'une parole je compte bien m'y tenir.

Il se mit a la regarder le sourire au coin.

J'ai dit que je te protégerais et j'ai bien l'intention de veiller sur toi.

Quand il eut finit de s'expliquer, elle lui dit:

Je comprends un peu plus maintenant. Mais comme tu dis, s'ils me poursuivaient, c'était pour me tuer ou pour m'utiliser à leur fin. Mais alors, toi, s'ils t'auraient eu, tu aurais été une des grandes pièces maîtresses de leur sombre projet. Heureusement que ça ne soit pas le cas.

Quand il lui dit cela, elle lui dit, sourire et un peu de rose aux joues:

Oui, bien sûr.

Puis par la suite, elle lui rendit son sourire en coin tout en lui disant:

Je ferai de même pour toi. Je ne suis peut-être pas quelqu'un avec une force et un talent comparable à la tienne, mais si tu te retrouves dans un impasse que ce soit, je ferai tout pour te protéger à mon tour. Comme tu le fais tant pour moi.

L'avion volait dans le ciel depuis quelques heures déjà. Le fait qu'ils parlaient ensemble faisait en sorte qu'ils ne remarquèrent même pas le temps passer. Il ne restait qu'une heure de trajet avant d'arrivée à bon port.

Mais pour ce qui est du masque, est-ce que tu as entendus des bribes comme à quoi il ressemblait et s'il désignait un dieu en particulier? Pour qu'une secte essaie d'en faire venir un à la vie, tout dépendant duquel, n'est pas de bon angure. Il doit être dangeureux pour qu'ils y aillent de cette façon.

Elle le regardait, attentive à ce qu'il lui disait. Tout en l'écoutant, elle se dit:

*Que ton stand sois solitaire et pas bénéfique ou non, c'est la personne qui a le pouvoir qui détermine vraiment le chemin que celui-ci va entreprendre. Je sens que tu es la bonne personne pour.*

Les deux jeune gens semblaient être en accord total, mais se qui les attendaient était loin d'être de tout repos.
Taryuki tourna sont regard sont regard vers le plafond de l'avion en s'adossant contre sont siège.

La seul chose que je sait sur se qu'il cherche c'est que c'est un masque, je n'est aucun indice pour pouvoir le distinguer, mais si se masque renferme quelque chose de puissant, il doit-être particulier, j'ai 'impression qu'il ne passera pas inaperçu.

Tary se mit à regarder tout autour de lui, avant de regarder la fenêtre ou il croisa le regard de Sakume, qui lui souriait, un peu gênée ses joue pris de petite couleurs.

Au faite j'y pense mais, tu sait ou va c'est avion, en montant j'ai pas eu le temps de penser a cela.

Il n'osait la regardais, ses jolie petit yeux brun qui le regardais, il n'osais point plonger sont regard dans le siens.

À ces mots, elle commença à fouiller dans ses poches.

Hum, attends, je crois qu'il est écris dans mon passeport.

Elle sortit un petit carnet bleuté.

Bon, voyons voir. Hum.... Ah! On se dirige vers l'Amérique, dans le pays où il y a la Grosse Pommeà ce que je vois.lui apprit-elle.

Puis, elle remarqua que celui-ci avait pris un peu de couleur. Elle fut surprise et regarda ailleurs, gênée à son tour.
Quelques minutes plus tard, elle vit, par le hublot, que le sol approchait à grand pas. Il ne restait pas grand temps avant que l'avion de touche le sol.
Le capitaine donna le message au passager dont ceux-ci s'attachèrent de leur ceinture respectif.

Elle lui dit:

Regarde, on arrive!

On voyait les immenses grattes-ciel qui se dérobaient sous leurs pieds.

Après quelques instant ou les regarde timide se fit et se cachais, Sakume informa Taryuki de la destination.

Le pilote de bord fit sont annonce comme quoi l'appareille allait bientôt atterrir et qu'il fallait attacher les ceinture de sécurité, ils attachèrent leur ceintures.
Après exécution, Taryuki se tourna vers la fenêtre pour y regarder a travers le hublot, sans faire gaffe il se retrouva nez à nez dans le sens propre du terme avec Sakume qui n'avais pas encore fini d'attacher sa ceinture, celui-ci changea une fois de plus de couleur, mais se coup-ci s'était rouge pivoine.
Il se redressa tout gênée de la situation.
Il se mit a garder sont calme, respira un bon coup.
La demoiselle surprise sur le coup, se mit légèrement a rougir, elle continua à regarder Taryuki dont l'expression et la réaction la fit sourire et un peu rire. Elle finit de mettre sa ceinture et jeta un œil dehors lui disant qu'on arrivais.

Taryuki regarda a sont tour et l'on ne se trouvais effectivement plus au dessus des nuage. L'appareille se mit à atterrir.
Quelques instant après l'avion s'était immobilisé, tandis qu'une voix informais les passagers qu'il pouvais quitter l'avion.
Ils descendirent en même temps que les passagers, se mit à traverser l’aéroport et arrivèrent devant l'entrée de celui-ci.

Nous voila arrivée.